17 ans !

17 ans, l'âge de Maïla, le second de la fratrie, aujourd'hui.

Nous avons fêté : apéritif avec un casque de ouf offert par son petit frère, puis restaurant italien hier soir. Le restaurant était bon mais Patrick a été servi bien après nous, il l'avait un peu oublié en cuisine. C'était dur car il avait faim.

Au retour du restaurant, nous avons eu le grand en ligne. Content de sa rentrée, déjà au travail (un dimanche soir !), et avec des faiblesses à rattraper en math. Commentaire de Hugues après l'appel "ouh, ça n'a pas l'air rigolo là-bas... t'as vu les horaires ? c'est strict-strict ! je ne veux pas faire ça moi". Ne t'inquiète pas Hugues... on le savait déjà :-)

Cadeau du 'tit frère.

Et là, les genouillères de la marraine... il va avoir un total look maintenant.

Retour sur le WE 

A lire le blog, certains pourraient penser que nous sommes monomaniaques du vélo. VTT le samedi pour Patrick et Hugues. VTT le dimanche pour Patrick, Luc et moi. On pourrait le penser, effectivement. Mais le dimanche, Patrick et Luc ont ajouté de l'escalade pour agrémenter le tout ; j'ai râlé (on appelle cela faire ma mauvaise tête) jusqu'à la fin de la montée (vers 14 heures) ; Hugues est resté à la maison, il avait trop mal aux jambes de sa sortie du samedi.

Samedi, avec Patrick, ils ont fait un grand tour en montant à Pulchoki, le plus haut point proche de KTM. Si haut que le sommet était dans les nuages.

Montée au col tranquille.

 Ils ont exploré une nouvelle route pour atteindre le sommet, ce qui veut dire portage de VTT. ça c'est un message privé pour Christophe et Philippe qui vont venir faire du vélo ici. Chauffez les muscles des épaules aussi :-)

là, il suffit de pousser...

Et là il faut porter normal.

Pulchoki, le sommet, ses radars, ses nuages et ses drapeaux à prières.

Samedi était jour de fête au Népal : c'était l'anniversaire de Krishna. Aussi, à la redescente, sont-ils tombés sur une vraie fête foraine et sur une foule en liesse.

Qui veut faire un tour de manège ?

Le dimanche, si on regarde bien, c'était moi qui portait et poussait mon vélo au milieu des rizières.
C'est bien vert mais le pays est en déficit d'eau : la mousson est moins forte que prévue ici. C'est bien pour les abris temporaires, à plus long terme c'est ennuyeux pour les récoltes et l'électricité en hiver. Cela n'a pas empêché les sangsues de sortir. Sales bêtes. Obligée de me réfugier dans le hamac tout l'après midi. Avec un livre. L'horreur.

Il a fallu en sortir pour descendre le long d'une pente raide, rendue très glissante par les aiguilles et la boue : ça n'a pas loupé, les deux pieds ont giclé et les fesses ont tapé. Juste moi. Pas les garçons. Oh monde cruel et injuste !

L'ai-je bien porté ?

KTM est à moins de 10 km. Difficile à imaginer.

Ramassage d'aiguilles de pain pour l'hiver. ça a l'air lourd.

Blagounette

 Patrick va partir au Daulaghiri avec un copain. GST, l'agence de Catherine s'occupe de la logistique, des permis... et a besoin de photos d'identité pour les établir. La photo du pote de Patrick a été débouté. Je ne comprends pas, voilà ce qu'il avait envoyé (les cadres noirs, c'est moi... je ne vais pas le délationner tout de même...). Elle ne serait pas un peu stricte Catherine :-D

Nous étions assez explosé de rire hier en voyant cela.

Il suffit pourtant d'imprimer et de découper, non ?