samedi 9 janvier 2016

Escalade en Emirats Arabes Unis (EAU) ou premières images

Retour en arrière et décollage avec Fly Dubaï, la compagnie low-cost d'Emirates. Départ retardé d'une heure et escale en Inde pour remplir les réservoirs d'essence. Et oui. Deux heures de retard à l'arrivée, le loueur était content.

Premier moment de stress : la voiture est petite et nous la remplissons déjà avec nos bagages, et sans Benoît. Gloups.

Nous avons atterri à Al Maktoub, Benoît à l'aéroport international de Dubaï, l'autre, à 60 km de là. Le gentil loueur nous emmène. Heureusement, car dès qu'il nous lâche, nous nous égarons sans peine dans le labyrinthe des buildings (ben oui, on ne sait plus faire).

On récupère Benoît sans encombre à minuit. Enfin, moi, car les autres, éreintés par le décalage horaire, écrasent dans la voiture. Je prendrai le volant pour atteindre notre coin de campement dans les dunes au bord de l'autoroute. Ah les autoroutes de Dubaï : lisses, larges, éclairées... des moyennes incroyables et une débauche d'électricité et de pétrole. Pas de doute, le Népal est loin.

Le reste de la première semaine : escalade pour les garçons et balades automobiles pour moi. Je n'ai pas fait de photos, vous ne verrez que celles de Patrick. Donc pas d'image du requin à pointe noire avec lequel j'ai nagé (oui, on est potes), ni des tortues (itou), ni du saut de raie...


Wadi Galilah vers Ras El Khaimah : des falaises et des voies bédouines.

Luc

Cordée avec Luc et Benoît, oui, notre grand.

Benoît, on l'a reconnu, la prépa ne nous l'a pas changé.



Jeu : qui fait du rappel sur cette photo ?

Les escaliers vers le paradis... c'est le nom de cette voie bédouine.

Les trois frères ! Heureux de se retrouver

hop hop hop vers le sommet

voie bédouine trop verticale pour moi
Vraiment, sans façon...



Hugues et Benoît

Raide la montée


A la fin de cette semaine, nous avons laissé Benoît (après un mémorable et épique parcours dans la ville, où on s'est bien perdu et quand on se perd c'est des dizaines de km qu'il faut ajouter)... et nous étions tous bien tristes.


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