mardi 19 avril 2016

Investir dans la sécurité

Enfin, le cap est passé. Cela faisait un moment que je me disais qu'avoir un bon casque était une bonne idée... et changer ma visière aussi. L'ancienne, rayée, avait été enlevée mais avec la poussière sur la ville, les seules lunettes de soleil s'avérait un peu juste.

Alors, direction l'avenue des accessoires motos, évidemment en travaux... je m'arrête au hasard. Moto sur la béquille et j'accède au premier magasin venu, en escaladant bravement les sacs de sable - les escaliers - en agrippant les fers à béton qui dépassent - la rampe. Première étape, choix d'une visière. Elle est originale donc plus chère. Oui les modèles d'origine sont plus chers. Et la, intervention d'une policière : interdiction de se garer dans la rue, il faut se garer sur le trottoir. Et empêcher le passage des piétons ? Oui. D'accord. Vroum vroum ou plutôt poooo - poooo et voilà Mukti sur le trottoir avec une brique sous la béquille pour la stabiliser. Oui le trottoir est en réfection aussi.

Retour dans la boutique et achat d'un casque intégral cette fois avec 2 visières. Le luxe. Les achats se poursuivent ensuite par la commande de sacoches de selle, sur mesure, avec design personnalisé, excusez du peu. Avec des bandes réfléchissantes du meilleur effet. Enfin j'espère. Réponse dans une semaine lors de la livraison. Avec tout cela, je serai parée pour la venue de Stef et Polo en mai. Et avec deux casques, je peux emmener sans crainte un passager. Sans crainte, c'est vite dit... moins de craintes plutôt.
Veste, gants, casques. Parée.

La riposte d'Oli

Pas content le premier ministre KP Sharma Oli

Le premier ministre népalais n'est pas content des partis d'opposition. Ces derniers insistent sur la lenteur de la reconstruction et incitent la rue à grogner. Pas faux. Oli reconnait toutefois être lui-aussi mécontent du rythme de la reconstruction. Ah, quand même. Mais c'est que reconstruire, vous comprenez, c'est long. Et puis les matériaux de construction et la main d’œuvre manquent. Ah oui, vraiment ? Mais M. le premier ministre, cela n'est-il pas de votre responsabilité finalement ?








Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Un petit commentaire ? Siouplait ?